
Affichage des résultats au tableau, communication en ligne, brochures chiffrées… Depuis toujours, les taux de réussite aux examens ont un poids énorme dans le choix d’un établissement. Et c’est encore plus vrai dans l’enseignement supérieur privé, où les étudiants (et leurs familles) cherchent un engagement clair sur la qualité de la formation.
En France, la loi et les certifications exigent de plus en plus de transparence. À juste titre : dans un paysage concurrentiel, publier ses résultats aux examens officiels est un gage de sérieux, un facteur de différenciation et, surtout, un outil de pilotage pédagogique. Alors, pourquoi tant d’écoles tardent-elles encore à le faire ?
Pourquoi publier ses résultats aux BTS et examens est une obligation stratégique
1. Un enjeu de confiance
Aujourd’hui, choisir une école est un véritable investissement personnel, temporel et financier. La publication claire des taux de réussite aux diplômes permet aux étudiants et aux familles de juger objectivement du niveau réel de l’établissement.
C’est un élément décisif, au même titre que la localisation ou les spécialisations proposées. Un bon taux de réussite indique une pédagogie efficace, un bon accompagnement, et souvent une ambiance de travail porteuse.
2. Un levier d’orientation pour les futurs étudiants
Les taux de réussite sont devenus des repères clés pour s’orienter. Ils permettent de comparer des établissements sur des critères tangibles et mesurables.
➡️ À noter : Le taux moyen national de réussite au BTS en 2023 était de 75 % selon les données du ministère de l’Enseignement supérieur (DEPP, Session 2023). Certains BTS atteignent à peine 65 % au niveau national, tandis que d’autres filières dépassent les 80 %.
3. Une attente réglementaire et qualitative
Depuis la réforme de la formation professionnelle (loi « Avenir Professionnel ») et la montée en puissance de la certification Qualiopi, les établissements sont incités à publier leurs indicateurs de performance : taux de réussite, taux d’insertion, taux de poursuite d’études…
Dans le cadre d’un contrat d’apprentissage ou d’un financement public, ces indicateurs deviennent même une condition d’éligibilité. Ne pas les afficher devient alors non seulement un frein à l’image, mais aussi un obstacle administratif.

L’exemple de l’ISTEF à Toulouse : la transparence au service de la réussite
À Toulouse, l’école ISTEF joue pleinement le jeu de la transparence – et avec brio.
👉 Voici les résultats aux examens BTS 2025 pour les principales filières proposées par l’école :
Filière BTS | Taux de Réussite | Nombre de Candidats |
---|---|---|
Professions Immobilières (PI) | 92 % | 64 |
Management Commercial Opérationnel (MCO) | 88 % | 74 |
Négociation et Digitalisation de la Relation Client (NDRC) | 87 % | 52 |
Gestion de la PME | 100 % | 32 |
💡 À retenir : L’ISTEF affiche un taux de réussite moyen de 91 %, bien au-dessus de la moyenne nationale.
🟢 Cela témoigne :
- d’un accompagnement individualisé des étudiants,
- d’un suivi rigoureux en alternance,
- d’une pédagogie adaptée au monde professionnel.
🎯 « Nous n’avons rien à cacher. Bien au contraire, afficher nos résultats est un engagement envers nos étudiants. Cela crée une dynamique d’excellence et de fierté partagée », souligne Y. Maronnier Directeur Général Adjoint de l’ISTEF.
✅ Ce que cela change pour les étudiants
🎯 Pourquoi vous devriez privilégier les écoles qui affichent leurs résultats ?
- ✅ Pour évaluer vos chances réelles d’obtenir le diplôme
- ✅ Pour comparer la performance pédagogique entre établissements
- ✅ Pour détecter les écoles qui s’engagent dans une démarche qualité
- ✅ Pour investir votre énergie et vos efforts dans un parcours gagnant
Un établissement qui ne publie pas ses résultats, c’est comme un restaurant sans menu ni notes : cela doit interpeller.
En conclusion : Afficher ses résultats, c’est afficher sa pédagogie
Transparence, qualité, confiance : ces trois piliers vont de pair. Un établissement privé qui assume ses résultats montre qu’il croit en son modèle, en ses équipes, et en ses étudiants. C’est une preuve de maturité pédagogique et un acte de respect envers les candidats.
L’ISTEF en est un exemple remarquable, et d’autres établissements devraient suivre la voie : dire ce qu’on fait, faire ce qu’on dit… et prouver qu’on le fait bien.